Groupe NEUBAUER

L'Histoire du Groupe NEUBAUER.

Une histoire familiale forte et marquée de +120 années.

Les débuts d'accès à la mobilité.

Les origines du Groupe NEUBAUER remontent à bien des années en arrière puisque son histoire se déroule sur trois siècles différents du XIX au XXIe siècle.

C’est une histoire et une aventure humaine exceptionnellement riche qui s’est déroulée sur environ 120 années avec des rencontres tantôt heureuses tantôt malheureuses avec « la grande histoire » mais finalement c’est toujours une trajectoire ascendante qui a été suivie.

En cette fin de dix-neuvième siècle Paris était une ville « lumière » qui brillait entre les expositions universelles de 1889 et de 1900 où
l’animation et l’activité semblaient s’articuler autour du progrès technique et économique. Au milieu de la ville et dans ses alentours on circule encore en calèches et autres moyens de transports hippomobiles.

L'association
NEUBAUER / FARMAN

Une collaboration hors norme

Albert Neubauer du fait de ses connaissances mécaniques très en pointe pour l’époque va collaborer pendant des années avec Maurice FARMAN pour la mise au point des aéroplanes qui sont à l’origine des exploits et des records de l’aviateur.

A la fin du XIXe siècle, Monsieur Albert Neubauer acquiert un atelier de ferronnerie situé au 218 boulevard Pereire à Paris 17ème « Ch. Guyenet et Cie ». Cet atelier sera transformé en garage dans un premier temps, puis en 1901 en un véritable lieu de vente et de services nommé “Le Palais de l’Automobile”.

Quelques années plus tard Albert Neubauer et Maurice FARMAN sont associés à la direction de l’affaire. Pendant ces années, ils vont aussi bien travailler au commerce et à l’organisation des services automobiles qu’à la préparation d’aéroplanes en vue de battre des records.

Une situation économique avantageuse

Les affaires tournent bien à cette époque car la France est un pays très en pointe pour la construction automobile : c’est un pays riche de grands noms de « pionniers de l’automobile » et qui produit de nombreux modèles de marques prestigieuses dont la plupart resteront à jamais dans l’histoire mais ne passeront pas la crise des années 30.

A la fin du 19ème siècle la France est le premier producteur mondial d’automobiles.

Entre 1900 et 1906 les Frères FARMAN vont vendre un grand nombre d’automobiles françaises en Angleterre qui est leur patrie d’origine et ce sera la base de leur fortune personnelle.
Pour ne pas être en reste Monsieur Albert Neubauer se réserve quant à lui le marché Nord Américain et c’est ainsi qu’entre 1900 et 1914 il sera exportateur majeur de véhicules notamment à destination des USA.

Développement du Palais de l'Automobile

En 1906 le Palais de l’automobile ouvre une deuxième agence sur le Boulevard Gouvion Saint-Cyr à proximité du siège d’Automobiles Peugeot qui est sis quant à lui au numéro 83 du même boulevard.

Cette proximité permettra à Albert Neubauer de lier des amitiés avec les PEUGEOT, amitiés qui seront à l’origine d’une future et solide collaboration par la suite. Pendant ces années d’avant-première guerre mondiale de nombreuses marques françaises figurent au catalogue du Palais de l’automobile :

  • Panhard & Levassor
  • Delaunay-Belleville
  • Renault
  • De Dion-Bouton

Mais également quelques marques anglaises de prestige comme ROLLS ROYCE.

Maurice FARMAN
Peugeot Boulevard Gouvion St-Cyr

Au début de l’année 1914 les affaires se portent bien mais c’est alors qu’éclate le premier conflit mondial qui va marquer très durement l’industrie automobile française mais aussi l’entreprise NEUBAUER.
Dans les premiers temps, comme chacun le sait, les français étaient persuadés que le conflit n’allait durer que quelques mois et se solder par une victoire de la France.
Mais on déchante vite.
A la fin de l’été 1914 les allemands ont fait une percée rapide et sont signalés à moins de 50 kilomètres de la capitale le 6 septembre.
Il faut une réaction immédiate et tranchante sinon c’est la chute de Paris et peut-être de la France. Le Général Gallieni n’a que quelques heures pour trouver une solution à ce problème et il la trouve en réquisitionnant des véhicules Parisiens, ce qui sera pour toujours inscrit dans l’histoire comme l’épisode des « Taxis de la Marne ».

Les Taxis de la Marne

NEUBAUER fournit des véhicules et des chauffeurs pour aller grossir les rangs des taxis.

Grâce au transport de troupe ultra rapide des taxis, des soldats supplémentaires sont acheminés au front et permettent de stopper l’avancée allemande. Mais pour NEUBAUER, la contribution à l’effort de guerre n’est pas terminée puisque le conflit va s’enliser pendant plus de 4 années et durant ce temps les ressources de l’entreprise vont être accaparées par la fourniture de services et biens aux armées.
Le conflit se termine par une victoire pour la France mais une victoire bien triste en regard des pertes humaines et des dégâts considérables que l’on connait tous.
Pour NEUBAUER il en ressort notamment un effondrement des ventes dont l’entreprise ne se relèvera pas facilement.

Pour l’industrie automobile française qui alimente les stocks de produits à vendre du Palais de l’Automobile c’est un coup très dur qui sera fatal à une bonne moitié des producteurs. L’explication est simple : pendant les années de guerre ces producteurs ont tous été contraints d’abandonner leur production pour se consacrer à la production de fournitures et matériel militaire, ajouté à cela les pertes humaines, les pertes de savoir-faire et il en résulte que 5 ans voire 10 ans après le conflit l’avance technique et la capacité industrielle des français ont disparu, la France est dépassée par d’autres pays qui n’ont pas eu autant à souffrir de la guerre.

Mais Albert Neubauer s’adapte vite à la nouvelle donne et il repart de l’avant sachant que le développement de l’automobile, même stoppé pendant bon nombre d’années, se poursuivra inéluctablement.

C’est la raison pour laquelle il pense alors à des implantations multiples dans Paris qui lui permettraient de bénéficier d’une meilleure présence commerciale et de couvrir toute l’étendue des services de l’automobile.

Il créée alors la SAGA (Société Automobile de la Grande Armée) qui a son siège et ses locaux sur l’avenue du même nom dans le 17eme arrondissement de Paris. Cette société poursuivra ses activités jusque dans le milieu des années 30 et (par un hasard de l’histoire ou une action construite ?) ce même lieu deviendra le siège d’Automobiles PEUGEOT quelques années plus tard.

En 1926 c’est une agence au 19 rue Mesnil à Paris 16ème qui est ouverte mais il faut également un garage de grande surface dans Paris.
Aux alentours de 1930 Albert Neubauer rachète Boulevard de la Somme une parcelle issue des anciennes fortifications de Paris pour y construire un garage. Il est vrai que la zone est intéressante car située à la frontière entre Paris 17eme et Levallois qui à cette époque est surnommée la « capitale de l’automobile » tant il y a de petits garages, sous-traitants, revendeurs, producteurs automobiles dans ces quartiers.

L'association
NEUBAUER / PEUGEOT

La naissance du partenariat

En pratique cela donne lieu à l’émission de billets tirés par PEUGEOT sur les concessionnaires, billets qui seront ensuite escomptés pour les transformer en disponibilités. Le système marche bien car Robert PEUGEOT est très entreprenant dans le développement commercial du « réseau » et en plus à cette époque PEUGEOT possède un bon catalogue de modèles. On dit généralement que les conseilleurs ne sont pas les payeurs mais pour une fois ce ne sera pas le cas puisque NEUBAUER va entrer dans le jeu de la signature des billets avant même d’être nommé officiellement concessionnaire.
C’est alors que le premier rôle va échoir au fils Jacques Neubauer qui est âgé de 38 ans à l’époque. Nous sommes en 1935.
Jacques Neubauer est jeune mais il connait bien les métiers de l’automobile et il sait que désormais un nouveau modèle de développement commercial va s’imposer : la distribution en masse.
L’automobile n’est plus un produit élitiste mais un produit appelé à être vendu à tout un chacun. Et puis il voit que la marque PEUGEOT, avec ces modèles performants et bien adaptés au marché français, est remarquablement placée pour être le vecteur de cette distribution en masse sans compter les affinités naturelles qui peuvent exister entre deux entreprises familiales qui à leur niveau respectif sont complémentaires.

Les premiers véhicules

Donc en toute logique Monsieur Jacques Neubauer abandonne la distribution multimarques et adopte ce statut de concessionnaire exclusif en signant un premier contrat avec la marque au lion pour le 1er Janvier 1936.
Cette date du premier Janvier 1936 est un point clef dans l’histoire de l’entreprise.
Le contrat PEUGEOT / Neubauer prospère de belle façon les premières années.
Mais en 1939, soit tout juste quelques années après, c’est le deuxième conflit mondial qui débute avec cette fois ci des répercussions directes sur la capitale.
Tout d’abord l’arrêt des approvisionnements en raison de l’occupation des usines PEUGEOT par les allemands et leur reconversion en usine de fabrication de matériel militaire est un premier coup dur.
Ensuite viendront la réquisition forcée des garages Neubauer par l’armée d’occupation et aussi la généralisation du STO (service du travail obligatoire) qui va priver l’entreprise de ses ressources humaines.

Un climat compliqué

Ce fut une époque très dure et éprouvante pour les NEUBAUER mais heureusement au final 5 ans après le début du conflit, en 1945, tout est appelé à rentrer dans l’ordre.
Mais la guerre a laissé des traces et il faudra bien 5 années pour que l’économie et le commerce repartent.

Le renouveau Peugeot

C’est le début des « trente glorieuses » qui s’avéreront particulièrement fastes pour le commerce automobile.
Monsieur Jacques Neubauer, met en place une organisation commerciale basée sur une communication renforcée et un management de contrôle et de motivation des équipes de ventes.
Ces pratiques, aidées par une conjoncture favorable portent rapidement leurs fruits.
Monsieur Jacques Neubauer ouvre alors plusieurs garages établissements secondaires au cœur de Levallois qui, comme cela a déjà été signalé, est une ville fort active en matière d’automobile.
Dans le début des années cinquante c’est au tour de Monsieur Gilles Neubauer (fils de Jacques né le 01/03/1929) de rentrer en piste pour seconder son père dans un premier temps.
En 1951 Monsieur Jacques Neubauer fait l’acquisition d’un terrain d’environ 1000 m2 au 9 boulevard Gouvion Saint-Cyr à Paris 17eme. Il fera construire à cet emplacement un magnifique garage sur 5 étages « à la mode parisienne » avec une station- service et tous les aménagements nécessaires pour la vente et l’après-vente automobile.
Ce site deviendra par la suite le siège social de l’entreprise.
La localisation est intéressante car elle se situe sur les boulevards extérieurs qui captent l’essentiel de la circulation automobile parisienne avant la construction du boulevard périphérique.

Un nouvel emplacement stratégique

Donc après avoir relevé le défi de l’après-guerre avec succès (car les ventes ne cessent de croitre) Jacques Neubauer va devoir relever le défi de trouver une autre implantation majeure pour la marque PEUGEOT.
Dans Paris, trouver un terrain à acquérir, c’est impossible, dans Levallois c’est encore possible mais les parcelles sont trop petites. Il se tourne alors vers Saint-Denis où là, trouver de beaux emplacements est une voie toujours ouverte.
Finalement il fait porter son choix sur le Boulevard Anatole France à Saint-Denis car c’est à cet endroit que se situe le meilleur potentiel et cela lui permet également d’agrandir son territoire commercial. Il achète donc entre 1962 et 1965 plusieurs parcelles de terrain à réunir en un seul bloc de 6200 m2.
Il confie le projet de construction du nouveau garage à son fils Gilles Neubauer. Celui-ci voit les choses en grand et il a raison car les ventes progressent sans cesse boostées par le développement économique, la banalisation de la possession d’une automobile dans bon nombre de ménages et la décision de PEUGEOT d’offrir désormais une gamme à plusieurs niveaux au lieu d’un « modèle unique » comme par le passé.
Il revient donc en cette année 1965 à Monsieur Gilles Neubauer de définir et de choisir le modèle de construction de « l’hyper concession automobile » vers l’horizon 2000 à réaliser sur le site de Saint-Denis. Finalement il trouve l’inspiration en visualisant certaines réalisations d’outre-rhin. Car l’Allemagne est en avance sur les infrastructures de ventes et de réparation automobile à cette époque (et encore aujourd’hui d’ailleurs).

La concession Peugeot à St-Denis

Ainsi la construction de la concession à Saint-Denis va débuter pour s’achever vers la fin de l’année 1967 et débouche sur une concession très moderniste de 20000 m2 de surfaces opérationnelles aux couleurs de PEUGEOT.
Encore une fois, cette belle réalisation va être contrariée quelques mois plus tard par les soubresauts de l’histoire car éclatent dans les jours qui suivent l’ouverture les événements de Mai 1968 qui vont paralyser l’économie pendant plusieurs mois et impacter durement le démarrage de l’entreprise.
Mais il y a un tel potentiel dans ce secteur d’activités à la fin des années 1960 que cet épiphénomène sera bien vite oublié.
Parallèlement le site du Boulevard de la Somme sera démoli quelques mois plus tard.

Pendant les années 1970 c’est Monsieur Gilles Neubauer qui va prendre progressivement seul la main sur les affaires du « groupe » qui n’est pas encore juridiquement organisé en tant que tel.
A la fin de l’année 1977 la famille devra faire son deuil de Monsieur Jacques Neubauer qui s’est éteint à l’âge de 80 ans. C’est aussi tous ceux qui l’ont connu dans le domaine professionnel qui le pleureront car il était apprécié de tous et le bilan du travail qu’il a accompli est considérable.

Or, la meilleure façon de rendre hommage à un disparu n’est pas de le pleurer mais de le continuer. Monsieur Gilles Neubauer sait qu’il a cette faculté et il va poursuivre l’œuvre de son défunt père.

Le modèle qui sauve Peugeot

Pour Monsieur Gilles Neubauer c’est aussi une grande réussite qui sera partagée avec Monsieur Jacques CALVET Président de PSA de 1983 à 1997 avec qui il tisse des liens d’amitié.
Durant ces années 1980 un événement est également à noter car Monsieur Gilles Neubauer décide de faire construire en 1984 un immeuble de bureaux à donner en location à la place du garage automobile situé 9 boulevard Gouvion Saint-Cyr. Cet événement marque la diversification de l’entreprise vers le domaine immobilier car ses sources de revenus ne seront plus maintenant totalement dépendantes de la seule activité automobile.
Les années 1990 voient en ses débuts une progression des ventes soutenues par le couple des modèles PEUGEOT 205/206 – Ce sont globalement des années fastes pour la marque PEUGEOT et pour Neubauer.
C’est aussi cette décennie qui va voir les premiers pas des deux fils de Mr Gilles Neubauer, Eric (né en 1963) et Hervé (né en 1967) au sein de l’entreprise familiale. Tous les deux ont connu avant d’entrer chez Neubauer des expériences diverses dans la distribution automobile et notamment auprès de concessionnaires en Belgique.
Leur formation théorique aussi bien que pratique leur permet d’accéder au poste de Directeur Commercial, expérience qui leur servira de tremplin pour accéder aux postes de Direction Générale.
En 1994 un terrain jouxtant la concession PEUGEOT de Saint-Denis (10000 m2) a été acheté afin d’y construire un immense hall d’exposition vente de véhicules d’occasions toutes marques. Quelques mois plus tard le bâtiment commercial voit le jour et pour la première fois c’est une enseigne hors marque constructeur qui est exploitée : GEANT OCCASION.

L'ère du multi-marquisme automobile.

NEUBAUER LOGO MULTI MARQUES

A la fin de l’année 1998 une opportunité fort intéressante se présente car la concession phare de la marque Volkswagen Avenue de Suffren à Paris, « espace SUFFREN », est à vendre et cherche un repreneur expérimenté pour continuer ses activités.

C’est le premier saut de NEUBAUER vers le multimarquisme qui se concrétisera le 1er Janvier 1999 soit exactement 63 ans après la signature du premier contrat monomarque avec la firme PEUGEOT, par la signature d’un contrat avec la marque allemande et le rachat des titres de la société cédante. C’est la base d’une organisation de contrôle et d’animation d’un ensemble de concessions de marques variées qui peuvent toutes trouver avantage à épouser le savoir-faire NEUBAUER en matière de distribution automobile.
Les constructeurs automobiles le savent et c’est la raison pour laquelle ils font confiance à NEUBAUER DISTRIBUTION.
A partir de là l’objectif est clair : s’agrandir, se diversifier en marques distribuées en privilégiant la montée en gamme et en restant sur des secteurs géographiques déterminés (L’lle de France Nord-Ouest et Paris intra-muros).

De nouveaux points de distribution automobile.

Concession Volkswagen Avenue Suffren

C’est le premier saut de NEUBAUER vers le multimarquisme qui se concrétisera le 1er Janvier 1999 soit exactement 63 ans après la signature du premier contrat monomarque avec la firme PEUGEOT, par la signature d’un contrat avec la marque allemande et le rachat des titres de la société cédante.

Concession BMW ZOL de Boulogne

En 2000 reprise de la concession BMW ZOL de Boulogne puis reprise de la concession BMW LOSTANLEN du Chesnay. Cette fois c’est Monsieur Eric NEUBAUER qui prend la direction de cette nouvelle branche de distribution.

Concession Volkswagen Michel Ange

Reprise également de la concession Volkswagen de Paris 16ème Michel Ange qui est un des joyaux parisiens de la marque.

Rolls Royce

En 2004, reprise de la distribution et l’importation exclusive pour la France de la marque Rolls Royce et exploitation du show room situé 37 rue Molitor à Paris 16ème.

Ferrari

Cette même année, reprise de la distribution des marques Ferrari, Maserati et Lotus.

Jaguar, Land Rover, Fiat, Lancia, Alfa Romeo

En 2007, un nouveau pas est franchi dans l’expansion du groupe avec la reprise de la distribution des marques Jaguar, Land Rover puis Fiat, Lancia et Alfa Romeo (complétée un peu plus tard par la marque Abarth).

Peugeot

Ce mouvement d’expansion vers le multimarquisme n’empêche pas NEUBAUER de prouver encore sa fidélité à PEUGEOT en réalisant de nouveaux investissements pour le compte de la marque au lion. Ainsi, en septembre 1999 une nouvelle concession PEUGEOT NEUBAUER ouvre ses portes à Saint-Brice dans le Val d’Oise.

Une évolution perpétuelle...

2007

  • Création de la société NEUBAUER Vauban Pièces de rechange

2008

  • Introduction et distribution de la marque Infiniti (la marque Premium du groupe Nissan).
  • Reprise de la concession BMW ARTES de Chambourcy
  • Reprise de la concession historique de la marque Jaguar, Land Rover au 99/101 Boulevard de Grenelle dans le 15ème arrondissement de Paris.

2009

  • Premiers pas dans la distribution de la marque Skoda.
  • Reprise du concessionnaire historique de la marque Ferrari à Paris “Charles Pozzi“.
  • Reprise du groupe de concessions “GAP GPM” de la marque BMW situé à l’ouest parisien.

2011

  • La marque Lamborghini rentre dans le giron NEUBAUER suite à la résiliation de l’ancien concessionnaire parisien.

2012

  • Le Groupe NEUBAUER décide de stopper la distribution automobile de la marque Rolls Royce.
  • Distribution de la marque coréenne Kia après la reprise de locaux à Sartrouville.

2013

  • Fin de l’activité Rolls Royce
  • Déménagement de l’activité Infiniti sur le site de MOLITOR

2014

  • Refonte de la concession Nissan Boulevard Gouvion Saint Cyr

2015

  • Déménagement de la concession NEUBAUER Rueil Malmaison à Nanterre

2016

  • Début du projet “Le Village Neubauer” : complexe inédit automobile multimarque

2017

  • Reprise des activités Damrémont Palace Auto de Saint-Denis
  • Reprise de l’activité BMW Plaisir (Plaisir Pajean devient NEUBAUER)

2018

  • Fin de l’activité Lamborghini / McLaren
  • Ouverture de la concession Nissan Boulevard Gouvion Saint Cyr
  • Déménagement des activités Damrémont Palace Auto de Paris Montmartre à Saint-Denis Village Neubauer
  • Lancement d’une activité NEUBAUER Entretien et NEUBAUER Carrosserie
  • Ouverture concession Nissan Buchelay

2019

  • Déménagement des activités après-vente et commerciale Nissan / Infiniti
  • Mise en place des activités NEUBAUER Entretien sur 3 sites (Le Village Neubauer, Montmartre, Asnières)

2020

2021

  • Fermeture de la concession NEUBAUER SKODA à St-Brice (01/03/2021)

Au total donc quelques 120 années après ses débuts, l’entreprise familiale NEUBAUER se retrouve aujourd’hui avec un groupe dont l’actionnariat est entièrement resté entre les mains de la famille et qui distribue officiellement 19 marques et 21 en contrat de réparateur agréé.

La vocation automobile et la passion autour de ces métiers est intacte.
Evidemment il n’y a aucune commune mesure entre les nombres de voitures vendues chaque année au départ de l’aventure et ceux d’aujourd’hui.
Mais au-delà de la progression des chiffres ce qui reste remarquable c’est la stabilité de l’entreprise dans sa direction humaine et son contrôle.
Cette stabilité, cette volonté de s’adapter et cette persévérance constructive est même quelque chose de carrément extraordinaire quand on considère le nombre de fois et la manière dont l’entreprise s’est heurtée aux affres de la conjoncture et aux durs tourments de la grande histoire.
Il n’y a rien de plus grand que de continuer, prolonger, sublimer l’œuvre de ceux qui nous ont précédés, et cette grandeur apparaît de manière la plus touchante dans l’entreprise familiale quand elle réussit et dure.